A la fois complexe et merveilleux, ce palais –château – forteresse – jardin n’est pas facile à décrire ; alors, laissons parler le poète :
Espagnole ou sarrazine, Il n'est pas une cité Qui dispute sans folie A Grenade la jolie La pomme de la beauté, Et qui, gracieuse, étale Plus de pompe orientale Sous un ciel plus enchanté.
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« L'Alhambra ! l'Alhambra ! Palais que les génies Ont doré comme un rêve et rempli d'harmonies. Forteresse aux créneaux festonnés et croulants Où l'on entend la nuit de magiques syllabes, Quand la lune, à travers les mille arceaux arabes, Sème les murs de trèfles blancs. » Victor Hugo - Extrait des « Orientales » XXXI (Grenade) du Livre III
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(lu dans Wikipedia)
Quand on ne sait pas écrire, la beauté rend muet, mais pas aveugle … alors regardons et admirons !